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Aleksander Ceferin succède à Michel Platini à la tête de l'UEFA

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Aleksander Ceferin, le président de la Fédération slovène, favori du scrutin, a étéélu, ce mercredi midi, président de l'UEFA en remplacement de Michel Platini. Lors du congrès électif de l'institution, qui se tient à Athènes, il a obtenu un large succès, avec 42 voix contre seulement 13 à son adversaire, Michael van Praag, le président de la Fédération néerlandaise. Cet avocat de 48 ans devient donc le patron du football européen pour deux ans et demi, soit jusqu'à la fin du mandat que devait accomplir Platini.


Patrice Talon obligé de faire des concessions politiques

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Les réformes politiques et institutionnelles constituent la pierre angulaire du programme de Gouvernement du Président Patrice Talon. Mais, elles ne peuvent pas aboutir sans l'Assemblée nationale dont la configuration politique semble être défavorable au régime en place. Le projet de révision de la Constitution aura du mal à passer les mailles du Parlement.

Le président de la Cour constitutionnelle, Théodore Holo a rappeléà l'ordre le Chef de l'Etat qui pensait aller au référendum, avant de consulter l'Assemblée nationale. Lors d'un séminaire, il a indiqué que conformément aux dispositions de la Constitution, le Parlement est la première étape de toute révision de la Constitution. Voilà ce qui est dit. Le Gouvernement, contrairement à ce qu'il pensait, doit aller au palais des gouverneurs, avant de consulter le peuple. C'est à ce niveau que les députés seront en position de force. Ils dicteront certainement leur loi au Gouvernement du Président Patrice Talon. Ainsi, le risque de blocage desdites réformes politiques et institutionnelles est grand. Et pour cause ! Tout d'abord, comme l'a bien dit le président de la Cour constitutionnelle, le Parlement est le passage obligéà l'aboutissement des objectifs du régime de la Rupture au regard des dispositions de la Constitution actuelle. L'article 154 de la loi fondamentale stipule ceci : « L'initiative de la révision de la Constitution appartient concurremment au Président de la République, après décision prise en conseil des ministres et aux membres de l'Assemblée nationale. Pour être pris en considération, le projet ou la proposition de révision doit être votéà la majorité des trois quarts des membres composant l'Assemblée nationale…. ». Cela suppose que, contrairement à ce que d'aucuns pensent, le référendum n'est pas possible sans l'Assemblée nationale. Alors, il faut que le Gouvernement parvienne à avoir au minimum 63 députés, avant que le projet ou la proposition de révision soit considéré ou accepté. C'est l'obtention de ce quorum qui débouchera sur le référendum.

Difficultés

Dans ces conditions, il faut se poser la question de savoir si la configuration politique actuelle de l'Assemblée nationale pourrait profiter au Président Patrice Talon. Il suffit que 22 députés se mettent ensemble pour faire échec aux réformes du régime de la Rupture à l'Assemblée nationale. Telle que la situation évolue actuellement au plan politique, la probabilité est forte pour que cette minorité de blocage se constitue. Seuls les députés-Fcbe (Forces cauris pour un Bénin émergent) sont au nombre de 33 et 08 d'entre eux ont boudé le choix de Lionel Zinsou à la dernière élection présidentielle. L'ex-mouvance présidentielle a déjà clairement affiché sa position contre le mandat unique. Dans les autres composantes de l'Assemblée nationale, il peut avoir des résistances contre le Chef de l'Etat. La prise de position des députés, toutes tendances confondues, des 19ème, 20ème, 21ème et 22ème circonscriptions électorales contre la carte universitaire et les débats qui s'en sont suivis au Parlement en sont une illustration parfaite. Alors, il faudra s'attendre à des revirements spéculaires au Palais des gouverneurs quand il s'agira des réformes politiques et institutionnelles.
Dans certains milieux, il est souvent aisé d'entendre dire que le Président Patrice Talon saura négocier les députés au moment opportun. Mais, on le dit sans savoir que le contexte n'est plus le même. La guerre contre l'ancien Président de la République, Boni Yayi, était le point de convergence de Patrice Talon et de la classe politique. La preuve est qu'à la dernière élection présidentielle, parce que le natif de Tchaourou n'est plus dans le jeu, le candidat Talon n'avait pas pu rallier assez d'acteurs politiques à sa cause. Le fait même que le Chef de l'Etat entend passer seulement un seul mandat pourrait compliquer davantage la situation. Dès lors, le Président Patrice Talon doit beaucoup négocier le passage de l'Assemblée nationale surtout que l'article 155 de la Constitution stipule : « La révision n'est acquise qu'après avoir été approuvée par référendum, sauf si le projet ou la proposition en cause a été approuvée à la majorité des quatre cinquièmes des membres composante l'Assemblée. ». Si le Gouvernement manage bien, la révision est peut-être acquise déjà au Parlement, quand même rien n'est sûr dans ce sens. Au même référendum, ce ne sera pas facile. Les Fcbe, avec leur leader charismatique, Boni Yayi, auront leur mot à dire sur le terrain. La morositééconomique ambiante dans le pays pourrait également créer des ennuis au Gouvernement. Les anti-révisionnistes pourraient s'en servir pour attaquer les réformes en l'occurrence la question du mandat unique. Au total, l'aboutissement des réformes politiques et institutionnelles ne sera pas une mince affaire.

Par : Paul Tokoudagba

Les portes de la STTB fermées

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Plus d'activités à la Solution technologique de transport du Bénin (STTB). Ainsi en a décidé, le ministre des Infrastructures et des transports, qui a mis à exécution sa menace de retrait d'agrément à la STTB. Un acte posé en violation des clauses du cahier de charges signé entre l'Etat béninois et la STTB.

Les appels de présidents de la sous-région, des sages du Bénin, des responsables de la Solution technologique de transport du Bénin (STTB) et les propositions des deux ministres d'Etat du gouvernement Talon pour une sortie de crise n'ont visiblement pas valu pipette. Depuis le week-end dernier, les activités de la Solution technologique de transport du Bénin (STTB) sont interrompues pour trois mois. La STTB a été contrainte de fermer ses portes. Un acte qui est la conséquence de la menace qui planait sur cette société quant à son retrait d'agrément. A travers les injonctions du ministre des Infrastructures et des transports, la cessation des activités de la STTB est devenue effective. Motif avancé : le non-respect du cahier de charges de ladite société (construction des parcs de camions poids lourds). Une exigence à laquelle la STTB n'a pu satisfaire, puisque c'est une affaire pendante devant la justice qui oppose le PDG Lassissi Afouhuncho et l'entrepreneur en charge de la construction des travaux. Selon des sources proches de la société, la STTB a toujours respecté son cahier de charges. Pour rappel, Théodore Glèlè, directeur général adjoint de la STTB, avait entre-temps soutenu que la STTB a tout le temps accompli sa mission consignée dans le cahier de charges, celle d'œuvrer aux entrées et sorties automatisées des camions au port. Même le désengorgement du port et de ses artères est aussi chose faite.

Les faits
En effet, les ouvriers de la STTB ont été contraints, sous présence militaire, de quitter leur poste de travail et de rentrer chez eux, la nuit du jeudi au vendredi derniers. Selon les explications de Théodore Glèlè, directeur général adjoint de ladite société approché par notre rédaction il était au-delà de 23 h le jeudi 08 septembre quand « la directrice générale du port avec le commandant du port ont commencé par chasser les agents, leur demandant de donner lesclés et de partir ».
A en croire les explications du directeur général adjoint, la directrice générale du Port autonome de Cotonou était accompagnée pour la circonstance des éléments du commissariat spécial du port ainsi que ceux de la Brigade de gendarmerie pour effectuer l'opération. « A la date d'aujourd'hui, c'est le port qui fait sortir et entrer les camions à l'intérieur du port », a fait remarquer Théodore Glèlè. L'arrêt des activités de la STTB annonce le retour au système manuel avec de longues files de stationnement des camions poids lourds dans la ville de Cotonou.

Eric Tomeho

La quatrième session extraordinaire s'ouvre lundi prochain

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Les députés sont été convoqués lundi prochain pour l'ouverture de la quatrième session extraordinaire de l'année. Deux points sont inscrits à l'ordre du jour. Il s'agit de la désignation des représentants des députés dans les commissions communales d'actualisation (CCA) afn de démarrer l'actualisation de la liste électorale permanente informatisée ainsi que l'étude et l'adoption du budget du parlement pour l'année 2017 est le second point de l'ordre de cette quatrième session extraordinaire de l'année 2016.

La Rédaction

Une partie de l'histoire du Bénin s'efface en toute facilité

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Le 15 septembre de chaque année, la communauté internationale célèbre la journée internationale de la démocratie. En prélude à cette commémoration, des députés et des jeunes sont allés visiter ce mercredi matin, le berceau de la démocratie béninoise (L'hôtel PLM Alédjo). C'est un PLM Alédjo vétuste et délabré que les députés sont allés découvrir.
Il y a 26 ans, l'hôtel PLM Alédjo servait de cadre pour la conférence des forces vives de la nations béninoise. Après 26 ans de renouveau démocratique, la maternité de la démocratie béninoise se trouve dans un état délabré. La salle de conférence où s'est déroulée les débats qui ont abouti à l'avènement de la démocratie se trouve dans un état déplorable.
Ce lieu chargé d'histoire et qui devait être le sanctuaire du renouveau démocratique béninois est totalement oublié de tous. Il est même devenu un jardin de production des produits maraîchers. C'est le triste et malheureux constat que sont allés faire l'équipe conduite par le vice président de l'Assemblée nationale Eric Houndété, en cette veille de la célébration de la journée internationale de la démocratie. C'est avec un pincement au coeur que ces derniers ont visité les lieux.
Ce malheureux constat sera-t-il le point de départ d'une prise de conscience ? Bien malin qui pourra donner la bonne réponse. Toujours est-il que ce lieu chargé d'histoire à besoin d'être réhabilité. Des voix se sont élevées pour attirer l'attention des autorités béninoises sans succès. Ce qui est vraiment regrettable, c'est l'absence totale de réelles volontés pour initier la revalorisation de ces lieux. Voilà comment une partie de l'histoire du Bénin s'efface progressivement sans que cela n'inquiète quiconque.
Par : Willy N. ODJUOLA

Le point de la visite du chef de l'Etat en Chine

POINT DE PRESSE DU CONSEIL DES MINISTRES DU 14 SEPTEMBRE 2016

ESAE TV


Un accident occasionne des dégâts matériels à l'étoile rouge

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Une voiture dont le conducteur aurait eu un malaise s'est violemment écrasée cet après-midi contre une autre en stationnement sur le trottoir à la place de l'étoile rouge à Cotonou causant des dégâts matériels et un blessé grave.

Selon des témoins, le conducteur à l'origine du violent choc au volant d'une voiture de marque Toyota Highlander immatriculée BB 6000 RB a violemment percuté une autre voiture de marque Toyota AZ 1801 RB en stationnement sur le trottoir.

Fabrice Sossou, un témoin affirme que le chauffeur seul à bord de sa voiture aurait, selon toute vraisemblance, perdu connaissance au volant car il a subitement accéléréà quelques mètres avant d'être stoppé tout net par la voiture en stationnement sur le trottoir.

Les sapeurs-pompiers aidés par les populations ont réussi à retirer le chauffeur dans un état inconscient de la voiture, ont indiqué des témoins.

« C'est l'excès de vitesse. J'étais d'ailleurs surpris de la manière dont ce monsieur conduisait car le changement d'allure a été brusque », a lancé un individu sur les lieux.

ABP/JMN/DK


Un jeune agriculteur s'est suicidéà Banikoara

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Un jeune agriculteur, la vingtaine d'âge, s'est donné la mort mardi nuit à Igrigou, un village de l'arrondissement de Founougo, dans la commune de Banikoara, suite à la consommation d'une dose de pesticide.

Selon le chef de l'arrondissement de Founougo, Sanni Idrissou, « rien n'expliquerait concrètement l'attitude du jeune agriculteur ». Ce dernier aurait confiéà certains membres de sa famille qu'il n'entretenait aucun lien de conflit avec une tierce personne, mais certains témoins proches de la famille du disparu affirment tout de même que la prise de certains médicaments et stupéfiants serait à la base de ce suicide, un troisième du genre qui serait enregistré au sein de la même famille, a confié Sabi Goré, un habitant du village d'Igrigou.

ABP/AOK/BK

La synthèse du conseil des ministres du 14 septembre

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Le Conseil des Ministres a tenu ce mercredi 14 septembre, sa réunion hebdomadaire dirigée par le Chef de l'État, Chef du gouvernement. Au cours de la séance, plusieurs sujets sont abordés et des décisions aussi importantes les unes que les autres ont été prises. Au nombre de ces sujets abordés.
Le drame de Tori Bossito intervenu le 8 septembre dernier a occupé une partie de la séance du jour. Et des sanctions tombent déjà. Il y a eu 92 brulés graves dont 16 décès à la date d'hier.

Le commissaire et le chef brigade de Tori sont relevés de leurs fonctions. Le chef dépôt douane aussi, selon le ministre d'Etat secrétaire général de la présidence de la République.

On retient également que le promoteur n'avait pas l'agrément pour ce genre d'activités.
De même la procédure d'incinération n'a pas été respectée.
L'enquête judiciaire sera accélérée. Mais en attendant le gouvernement invite les populations à la vigilance et au civisme.

Autre dossier à retenir du point de presse du ministre d'Etat, c'est le programme d'urgence de renforcement des infrastructures universitaires. Des amphithéâtres seront construits à Calavi et à Parakou pour accueillir notamment les étudiants des centres universitaires supprimés.

Dans le domaine de la justice, le ministre en charge du secteur a été instruit pour organiser un test de recrutement de notaires, huissier et commissaires priseurs pour 42 postes.

La contribution du Bénin pour les caisses du fonds mondial de lutte contre le VIH et la transmission de dossiers de ratification à l'assemblée nationale sont les autres dossiers examinés par le conseil des ministres qui a été dirigé par le président patrice Talon.

Au titre des nominations, on retient que le général de brigade Laurent Amoussou est le nouveau chef d'Etat major général des armées béninois.

Le commissaire M'po N'da relevé de son poste

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Les premières mesures disciplinaires liées au drame de Tori Avamè servenu le jeudi 8 septembre dernier tombent déja. De retour de la chine où il était pendant le drame, le président Patrice Talon avait promis sévir. Et bien les actes suivent déjà sa parole. Et pour cause, au terme du conseil des ministres du mercredi 14 Septembre 2016, le président de la République a donné des instructions fermes pour que les responsabilités soient situées à chaque niveau dans le cadre de ce drame national. Dans la foulée, l'inspecteur principal de Police M'PO N'DA qui fait office de commissaire de poolice en poste au commissariat de Tori a été relevé de son poste. Il lui est reproché sa légereté dans le cadre de la surveillance de cette opération d'incinération de produits avariés dans ladite zone. Aussi, apprenons-nous que le Chef Brigade de Tori Bossito a étéégalement relevé de son poste de commandement. Plusieurs autres mesures disciplinaires sont attendues

Par : Amir Nabil

LE QUOTIENT INTELLECTUEL DES GENS DU SUD PLUS ÉLEVÉ QUE CELUI DE LEURS FRÈRES DU NORD (Bénin)

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Par Florent Raoul COUAO-ZOTTI

Il y a quelque temps, précisément le 30 août dernier, une candidate au podium de Miss Congo RDC, Dorcas Dienda, nous fendait le coeur en mille morceaux en affirmant le plus simplement du monde que " l'homme blanc est plus intelligent que l'homme noir". Certains baudets qui avaient situé cette réflexion à la périphérie du cerveau de la mignonne, s'étaient empressés de dire "qu'être une belle femme, c'est parfois avoir la moitié du " congolo"— et on est au Congo — peu apte à la pensée. Ah, les fachos, les misogynes préhistoriques !

A peine sommes-nous remis de cette émotion qu'un ancien ministre de Yayi Boni, le Colonel Théophile Yarou affirme, dans une lettre adressée aux syndicalistes, que le Q.I.des gens du Nord dont il est un ressortissant lui-même, est inférieur à celui des gens du Sud. Le pauvre faisait une dissertation des plus laborieuses pour convaincre les syndicalistes que la politique des quotas mise en oeuvre par son ex-chef pour favoriser certains départements du nord à l'occasion des concours de recrutement à la fonction publique, cette politique, dit-il, ne doit pas être abolie par la nouvelle équipe au pouvoir. Mais notre sophiste ne s'est pas arrêtéà ce constat anodin : selon ses lumières, le gouvernement actuel fait de « l'épuration ethnique et régionaliste ». Rien que ça !

Je m'incline devant l'intelligence de cet homme qui découvre qu'à peine six mois de gouvernance du nouveau pouvoir, il y a chasse à l'homme du nord. Au point qu'on voit s'entasser des cadavres partout, tout au long de nos rues, dans les marécages et même dans les cours d'eau du pays. Heureusement qu'il ne se risque pas à parler de "génocide". Sinon, à admirer le choix de ses mots, on serait tenté de lui prêter un terme aussi modeste.

Plus loin, le colonel inspiré déplore que seuls quatre originaires de la partie septentrionale du Bénin aient trouvé des postes ministériels dans le gouvernement alors qu'on pourrait en nommer vingt-et-un venant du seul département de l'Atacora. Pour des gens dont il dit qu'ils ont le Q.I. médiocre, je me torture la cervelle pour savoir de quoi il parle. Et dire que celui-là est un haut cadre de l'armée et qu'il a dirigé le ministère de la défense ! Quel quotient !

Point de presse du Conseil des Ministres du 14 Septembre

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Le Conseil des Ministres a tenu ce mercredi 14 septembre, sa réunion hebdomadaire dirigée par le Chef de l'État, Chef du gouvernement. Au cours de la séance, plusieurs sujets sont abordés et des décisions aussi importantes les unes que les autres ont été prises. (Lire l'intégralité du compte rendu fait par le Ministre d'Etat Pascal I. KOUPAKI)

Le conseil des ministres a tenu sa séance hebdomadaire ce mercredi matin sous la présidence de Monsieur le président de la République, Chef de l'Etat chef du gouvernement. Le point de presse que je vous propose ce jour portera sur quatre points majeurs.

Le premier Il s'agit de l'adoption de quatre projets de décret.
Un premier projet de décret portant transmission à l'Assemblée Nationale pour autorisation de ratification de l'accord de Paris. La conférence des partis à la convention cadre des nations unies sur les changements climatiques a adopté par un consensus le 12 décembre 2015 à Paris, un accord appelé accord de Paris qui a été signéà New York le 22 avril 2016 par 175 états dont le Bénin.

Au terme de cet accord, tous les pays s'engagent à lutter contre les changements climatiques sur la base des principes équités et de responsabilité communes mais différencié. L'accord offre le cadre d'intensification des efforts qui vise à limiter l'augmentation de la température du globe, il offre également le cadre de renforcement des mécanismes de financement. Le conseil a adopté le projet de décret portant transmission à l'Assemblée Nationale pour autorisation de ratification de l'accord de Paris qui a été signéà New York le 22 avril 2016.

Autre projet de décret. Le conseil a adopté les décrets portant création de nouvelle charge de notaire d'huissier de justice et de commissaire-priseur. Ceci pour faciliter une meilleure accessibilité des populations aux offices ministériels. Ces différentes charges (42 au total) sont créées conformément à la nouvelle cartographie judicaire au Bénin. Le conseil a autorisé par ailleurs le ministre de l'a justice et de la législation à organiser les concours d'accès à ces 42 nouvelles charges.

Deuxième dossier important : Programme d'urgence de renforcement des infrastructures universitaires.
Le conseil a adopté un programme d'urgence pour le financement d'infrastructure et équipement prioritaire à l'université d'Abomey Calavi, à l'université de Parakou et à l'institut de Savalou. La mise en œuvre de la nouvelle carte universitaire appelle des mesures d'urgence de renforcement des infrastructures et équipements pour la rentrée universitaire 2016-2017.

L'université d'Abomey Calavi et l'université de Parakou devront accueillir dès la rentrée prochaine, des milliers d'étudiants en provenance des centres universitaires supprimés. Les capacités d'accueil des étudiants seront donc renforcées par trois amphithéâtres deux amphithéâtres de 1.600 places chacun à l'université d'Abomey Calavi et un amphithéâtre de 1.600 à Parakou et la construction de ces infrastructures devra être achevé dans les meilleurs délais.

Par ailleurs il est prévu dans la nouvelle carte universitaire la création d'un institut de l'institut national supérieur des classes préparatoires aux études d'ingénieur. Le centre qui a été identifié pour abriter cet institut se trouve à Kpakpassa dans la commune de Savalou. Ce centre a besoin d'être réhabilité. Le cout total de ce programme d'urgence s'établit à 2 milliards 900 millions et le ministre des finances a été instruit afin de débloquer ces ressources dans les délais les plus brefs.

Troisième dossier : Contribution du Bénin au fonds mondial de lutte contre le VIH sida le paludisme et la tuberculose.
Depuis l'année 2013, notre pays a bénéficié de l'appui financier du fonds mondial pour un montant cumulé de 162 milliards et demi de francs CFA affecté au renforcement du système sanitaire du Bénin et affectéégalement la lutte contre le VIH Sida, le paludisme et la tuberculose. Le fonds mondial organise tous les trois ans une campagne de reconstitution de ses ressources.

Nous en sommes à la cinquième édition. Le Bénin a été conviéà la prochaine campagne 2017-2019 qui sera organisé au Canada en deux c'est du 16 au 17 septembre 2016. Le conseil a approuvé une contribution du Bénin à hauteur de 2 millions de dollars à la campagne 2017-2019 campagnes de reconstitution des ressources du fonds mondial.

Quatrième point : Il s'agit du drame survenu à Avamè dans la commune de Tori-Bossito
Le conseil a pris connaissance du compte rendu du ministre de l'intérieur et de la sécurité publique relatif au drame qui est survenu sur le site de destruction de produit avariéà Avamè dans la commune de Tori-Bossito. Il résulte de ce compte rendu que le jeudi 08 septembre 2016, lors de l'incinération de produits avariés, un incendie a surpris des personnes qui tentaient d'extraire ces produits aux fins de récupération.

Il en résulte également que 92 personnes ont subi de graves brulures dont 16 décès malheureusement à la date du 13 septembre 2016. Aussitôt informé le 08 septembre 2016, le gouvernement a pris des mesures urgentes notamment la prise en charge systématique des victimes et l'ouverture d'une enquête judiciaire.

Le gouvernement bien entendu déplore cette situation grave et malheureusement récurrente. Le drame d'Avamè est né d'une part d'un manquement professionnel sur la chaine opérationnelle de l'activité d'incinération et d'autre part d'une violation des lois et règlement.

Il ressort des premiers éléments d'analyse que l'opération est frauduleuse pour deux raisons : la première ; le promoteur n'a pas obtenu au préalable l'agrément nécessaire pour l'exercice de cette activité. La deuxième, la procédure de destruction des produits avariés n'a pas été respectée et l'opération n'a pas été sécurisée à la mesure des risques potentiels. Ceci met donc en jeu des responsabilités à divers niveau au regard la complaisance et de la négligence relevée.

Le conseil a pris acte des sanctions administratives prononcées par les ministres suivants : le ministre en charge de l'intérieur et de la sécurité publique, le ministre délégué chargé de la défense nationale et le ministre chargé de l'économie et des finances. Sanctions administratives prononcées par ces trois ministres A l' encontre du commissaire de Tori-Bossito, le chef de brigade de gendarmerie de Tori-Bossito et du chef dépôt douane. Ces trois agents ont été relevés de leur fonction.

Le ministre de la justice et de la législation a été instruit à faire accélérer l'enquête judiciaire entamée et à faire ouvrir des procédures à l'égard de toutes les personnes convaincue de faute. Enfin face à ce drame, le conseil appelle la population et toutes les couches sociales et professionnelles à plus de responsabilité, à plus de prudence, à plus de vigilance à plus d'engagement citoyen et à plus de conscience civique.

Enfin, à l'issue du conseil et au titre des mesures individuelles, le général de brigade Laurent Amoussou est nommé chef d'état-major général des forces armées béninoises en remplacement du général de brigade Lawal Nahimi admis à faire valoir ses droits à la retraite à partir du 1er octobre 2016

Pascal I. KOUPAKI

Les clubs retenus pour le prochain Football Nasuba Ligue

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La Fédération béninoise de football (FBF) a tenu ce jeudi 15 septembre 2016 une réunion au siège de la ligue de football du Bénin à Kouhounou. La principale information est que le championnat national de football dénommé Ligue -Nasuba sera lancé le 29 septembre 2016. Après délibération, les clubs autorisés pour prendre part au championnat dans les différentes ligues sont dévoilés.

Ligue 1
As Police, Aspac, Ayéma, Dragons, Énergie, USS Kraké, ASOS, Requins, Jeunesse Athlétique de Cotonou, ESAE, Buffles, Panthères, As Tonnerre.

Ligue2
As Cotonou, Entente FC, Hodio FC, UNB, Jeunsesse Sportive de Pobe, Akanke, As Tado, Cavalier, Espoir de Savalou, As-Vo, Delta de Glazoué, Dynamo de Parakou, Jeunesse Sportive de Ouidah, Zazira de Parakou.

Ligue 3
ASO de Natitingou, Espoir de Cotonou, Lions de l'Atacora, Antilopes de Kouandé, Jeunesse Athlétique de Missérété, Okpara de Tchaourou, Tigre de Kouandé, Léopard de Ouaké, Entente FC de Kandi, Réal Sport de Parakou, Mains dures Athiémé, Faso Dodji de Lalo, Racine Club de Covè, Fogas FC de Bantè, Jeunesse Sportive de la Vallée de Bonou, Sakété FC, Espérance FC de Cotonou, Kangourou FC de Allada.

Par : Pérez LEKOTAN


Les parlementaires en communion avec la jeunesse béninoise

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Le Parlement béninois a célébré hier la journée internationale de la démocratie. Ce fut l'occasion réunir les jeunes de toute tendance et provenance, pour échanger sur les bonnes valeurs à observer pour une relève de qualité.

Cette rencontre importante souhaitée par l'union interparlementaire (UIP) a été mise à profit par l'honorable Eric Houndété, premier vice-président de l'institution lors de la cérémonie d'ouverture, pour attirer l'attention des jeunes sur les comportements à observer pour une relève de qualité. Il ressort de son intervention que les jeunes doivent emprunter la voie du militantisme et de la formation politique en adhérent massivement aux groupes cibles. Une des conditions de leur participation de qualitéà la construction de notre pays dans tous les domaines. Une vision partagée par le directeur de cabinet du président Adrien Houngbédji qui lors de son allocution de circonstance, a mis un accent particulier sur le sérieux à mettre en évidence pour mériter la relève. Un sérieux qui implique des qualités pour l'instant rares lorsqu'on s'en tient à la manière de se comporter de nos jours, de beaucoup de jeunes. Il n'a point manqué de mettre en exergue le souci du président de l'Assemblée nationale en ce qui concerne la promotion des jeunes. D'où la part importante accordée à la jeunesse dans les nominations depuis son élection à la tête du Parlement septième législature. Deux communications ont été données dans le cadre de la célébration de cette journée internationale de la démocratie et ayant fait l'objet d'une forte implication des béninois. La première porte sur les objectifs de développement numéro 16 et donnée par Ginette Camara du PNUD et la deuxième relative à l'engagement des jeunes dans la vie des Parlements. Elle a été présentée par Isaac Fayomi, directeur des services législatifs de l'institution parlementaire. Les deux présentations ont balisé la voie aux échanges très riches en enseignement pour la jeunesse, la relève de demain.

Par : Nicaise AZOMAHOU

Anjorin Moucharaf fait le point de ses 3 mois de gestion de la FBF

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Le Président de la fédération béninoise de football (FBF) Anjorin Moucharaf et certains membres de son Comité exécutif étaient face aux responsables de clubs qui se sont annoncés pour prendre part au prochain championnat, ce jeudi 15 septembre au siège de la ligue de football à Cotonou. Lors de cette séance de travail, Anjorin Moucharaf a fait aux responsables de clubs venus de tous les départements, le point de ses trois mois de gestion.

Cette rencontre de vérité intervient trois mois après l'élection du Comité exécutif de la FBF et à quelques jours du lancement du championnat national de football dénommé Ligue - Nasuba.

De la réconciliation...
A l'ouverture de la séance, Anjorin Moucharaf est revenu sur les démarches encours avec le Chef de l'État Patrice Athanase Guillaume Talon dans le cadre de la réconciliation des acteurs du football béninois. Dans ses propos, le Président de la FBF est revenu sur la proposition faite par le Président de la République pour une sortie de crise. " Lors de l'audience le Président de la République a demandé la mise en place d'un Comité exécutif consensuel et transitoire pour un mandat de deux ans. Les camps Augustin Ahouanvoébla et Victorien Attolou devraient proposer chacun trois personnes qui doivent s'ajouter au 15 qui sont sur ma liste " a expliqué Anjorin Moucharaf aux responsables. A ce jour, il se dit apte àœuvrer pour une réconciliation effective de la famille du football.

Du championnat
En ce qui concerne le championnat, le Secrétaire Général de la FBF, Imorou Bouraïma a fait lecture des clubs qui se sont manifestés pour prendre part aux différents championnat de football. Au total, 13 clubs en ligue 1, 14 en ligue 2 et 18 en ligue 3 ont répondu à l'appel du Comité exécutif. Anjorin Moucharaf regrette par ailleurs l'absence des clubs comme Avrankou Omnisports, Béké FC, Jeunesse Sportive de Agonli et de Mogas 90.

Du contrat FBF - Nasuba
A ce niveau, le Comité exécutif de la FBF a levé un coin de voile sur les termes du contrat. Selon l'article 6 dudit contrat, Nasuba doit verser à la FBF un minimum de 1.000.000 de dollars par ans sur une durée de 4 ans. Il rappelle que Nasuba a pour mission de collecter les sponsoring et d'assurer la diffusion du championnat sur les médias. Et selon Anjorin Moucharaf, si toutes les conditions sont remplies, la fédération devrait se voir virer la somme de 300.000.000 FCFA à la date du 5 Octobre avec le lancement du championnat pour le 29 Octobre prochain. Dès lundi, le calendrier sera disponible et transmis aux partenaires.

Le bus des Écureuils un acquis, l'extension du siège de la FBF bientôt une réalité
Pour finir, le Président de la FBF a annoncé officiellement aux responsables de clubs que, comme promis, son Comité exécutif est parvenu à récupérer le bus des Écureuils du Bénin. Ce bus est stationnéà l'hôtel Azalai de Cotonou. La récupération du bus a coûté 3.400.000 F CFA. Il dispose de tous le confort nécessaire : Télévision, bar climatisé, WC et autres. Par ailleurs, grâce au dynamisme de Christian Lagnidé, la Loterie Nationale du Bénin (LNB) a décidé d'accompagner le football béninois. Dans le cadre de l'extension du siège de la FBF, le Comité de la FBF a eu un financement de la confédération africaine de football (CAF) pour l'achèvement des travaux.

le procès verbal établi
A l'issue de la séance d'information et d'échanges qui s'est articulée autour de trois points essentiels, un procès verbal de la séance est établi. Lire le contenu du Procès verbal de la séance.



Par : Pérez LEKOTAN

Le Syltra-BT dénonce le salaire hors grille octroyéà l'ex DGA de Bénin Télecom Sa

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Par déclaration publique en date du 15 septembre 2016, Le Syltra- Bt a exprimé sa désapprobation par rapport à la décision du Conseil d'Administration d''octroyer un salaire hors grille à l'ex Directeur Général Adjoint de Bénin Télécom Sa.

Lire l'intégralité du manifeste

MANIFESTE DU SYLTRA BT SUR NECESSITE DE L'ANNULATION DE LA DECISION DU CA DE BTI SA OCTROYANT UN SALAIRE HORS GRILLE A L'ANCIEN DGA
En cette période de tension de trésorerie où la société n'arrive pas à nous payer l'intégralité de nos salaires, où les légitimes revendications des travailleurs ne sont pas satisfaites, le Directeur Général Djalil ASSOUMA, vient encore d'induire les Administrateurs en erreur pour protéger ses arrières.
En effet, sur demande du DG ASSOUMA, le Conseil d'Administration (CA) a autorisé lors de sa dernière session tenue le 8 septembre 2016, le paiement d'un salaire hors grille à l'ex-DGA.
Non content de bénéficier les trois mois de sevrage que lui accorde la convention collective de travail (c'est-à-dire, qu'il conserve son salaire de DGA pendant 3 mois après sa révocation), le DG voudrais tailler à ce dernier un statut particulier d'ancien DGA, qui n'est pas prévu par les textes qui nous régissent (seuls les salaires du DG et du DGA sont fixés par le CA, les autres salaires sont régis par la convention collective).
Le privilégier s'est fait équipé un bureau à prix d'or (la table seulement aurait coûté plus de trois (3) millions de FCFA). Ledit bureau a été réfectionné en urgence, en violation de toute procédure de passation de marché public.
Avec cette autorisation donnée par le CA, l'ex-DGA, indépendamment des fonctions qu'il aura à occuper, gagnera un salaire supérieur à celui de tous les cadres de la société aux seuls motifs qu'il a été DGA (poste politique). Ce faisant, le DG ASSOUMA redonne vie au principe de la conservation des avantages liés à une fonction supérieure, et ce, durant toute la carrière de l'agent.
Les conséquences néfastes de cette décision sont incalculables. On peut citer :
- La démotivation du personnel, car il suffira de faire les couloirs pour se faire nommer DGA et bénéficier à vie d'une rémunération supérieure à celle de ses collègues ;
- BTI SA devra faire face à la légitime réclamation des anciens DG et DGA de la société qui n'ont pas bénéficié de cette faveur car les Administrateurs, en son temps, étaient restés fidèles à l'esprit des textes en vigueur. Les preuves existent dans les archives de BTI et le DG ASSOUMA devra les sortir pour éclairer les membres de l'actuel CA ;
- A partir de ce précédent très fâcheux, tous les responsables à divers niveaux au sein de BTI SA, qui pour une raison ou une autre sont amenés à occuper une fonction inférieure, vont exiger le même traitement en leur faveur ; ce qui entrainera une pagaille dans le mécanisme de rémunération du personnel.
Toutes ses implications directes et prévisibles vont contribuer à coup sûr à assécher davantage les maigres ressources de l'entreprise au profit d'une poignée d'agents.
Mais, les raisons de ce traitement de faveur de l'ex-DGA sont ailleurs. Si l'on sait que l'ancien DGA est le numéro 2 de la mauvaise gestion du DG ASSOUMA, on comprend aisément cette politique du DG ASSOUMA qui consiste à servir grassement son complice au risque d'être dénoncé. Si je coule, tu coules aussi ! C'est triste.
C'est pourquoi le SYLTRA BT exige :
- l'annulation pure et simple de cette décision du CA ;
- l'organisation des élections pour permettre au personnel de choisir son représentant au sein du CA afin d'éviter d'être représenté par un retraité qui n'est plus préoccupé par la vie des travailleurs et qui laisse prendre une telle décision ;
- le renouvellement de tous les membres du CA conformément à l'esprit de la Rupture et du Nouveau Départ.
En tout état de cause, le SYLTRA BT invite le personnel à la mobilisation pour barrer la route à ces pilleurs de notre entreprise commune, afin qu'à l'ère de la rupture, plus rien ne soit comme avant.

Cotonou, le 15 septembre 2016
Le Secrétaire Général

Asséréou Brice AGOSSOU

Une église évangélique fermée par la population en colère à Abomey

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Les portes d'entrée de l'église évangélique « Porte des brebis » au quartier Adandokpodji, dans la commune d'Abomey, sont barricadées de tous débris et ceinturées de rameaux, depuis samedi nuit par la population en colère, les dignitaires du culte Zangbéto, en raison des griefs portés contre la personne du pasteur de ce temple, a constaté le correspondant de l'ABP.

Le pasteur de cette église est accusé d'avoir volé un nouveau-né, détourné les femmes d'autrui à son profit.

Pour cause, la population a manifesté sa colère et a fermé nuitamment le lieu de culte.

Approché, le pasteur Saturnin Dossou a nié en bloc toutes ces accusations.

« Le bébé supposé volé est un nourrisson d'environ deux mois, que j'ai fini par confier à mes parents à Cotonou, du fait des agissements de sa mère qui a abandonné le bébé pour rejoindre ses parents », a confié le religieux évangélique.

Saturnin Dossou dit regretter n'avoir pas déclaré la situation à la police ou à la gendarmerie avant d'opérer le déplacement de l'enfant.

Rattrapé par les faits, le pasteur a été convoqué au commissariat central d'Abomey pour répondre de ses actes et retourner l'enfant à sa mère.

Cependant, l'église est restée fermée depuis samedi.

ABP/AA/IA/


Le nouveau maire de la commune d'Allada connu ce jour

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Suite à la destitution du maire de la commune d'Allada, M. Mathias Djigla par douze (12) conseillers communaux au terme des travaux de la session extraordinaire du mercredi 31 Août 2016, le secrétaire général de ladite municipalité, M. Salomon Tonègnikes a confié, ce jeudi, que l'élection du nouveau maire sera effective ce vendredi.

Le successeur de M. Mathias Djigla, maire de la commune d'Allada destitué par douze (12) conseillers communaux et entériné par deux arrêtés préfectoraux sera élu ce vendredi.

Selon M. Salomon Tonègnikes, les dix-huit (18) conseillers communaux d'Allada sont convoqués pour ce vendredi afin de procéder à l'élection du maire de ladite commune.

Toutes les dispositions sont prises pour favoriser les travaux électifs du nouveau maire dans une ambiance sereine, a-t-on appris.

Rappelons que les conseillers dissidents ont dénoncé entre autres, la gestion catastrophique du maire, le non-respect des textes, la mauvaise gestion concernant l'acquisition de moyens roulants, la vente de réserves administratives et bien d'autres griefs.

ABP/RAD/DK


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