(Par Roger Gbégnonvi)
Il ne suffit pas de rejeter ‘‘l'imposture venue de France'', il faut aussi s'interroger sur la faute par nous commise pour mériter cette insulte sévère, cette humiliation extrême : ‘‘Comme nous n'avons rien pour vous ici malgré vos talents, allez donc là-bas les gouverner pour nous. Vous êtes des leurs de par le nom de votre père. Nous arrangerons pour vous le KO.'' Qu'avons-nous fait pour mériter qu'on nous méprise et bafoue notre dignité ?
La classe politique béninoise est coupable (...)
↧
Il sera ‘‘temps que le malheur succombe''
↧